Il était une fois
C’est une belle journée ensoleillée. Tu profites en faisant le lézard au bord du canal quand soudain, tu vois défiler un gros tas de déchets. Une scène affligeante. Ce n’est pas le tableau que tu t’étais peint, ce n’est pas une image qui te rend fier de ta ville. Nous, ça nous saute aux yeux et nous avons donc acheté un kayak pour débarasser le canal de ces abominations. Mais bientôt, il a fallu nous rendre à l’évidence: nous ne pouvons rien contre ce flux de déchets, il y en a tout simplement trop. Nous nous sommes donc rapidement concentrés sur la sensibilisation en allant pêcher chaque semaine avec une nouvelle personne, une action toujours en cours. C’est ainsi qu’est né Canal it up. Depuis, l’équipe a grandi et a décidé de s’attaquer à d’autres problèmes avec pour objectif la revalorisation du canal. Nous sommes fiers de notre ville et nous voulons un canal propre, foisonnant de vie, où il fait bon se promener.
Pieter Elsen
Ce bruxellois qui acheta un kayak pour prendre à bras-le-corps le problème des déchets dans le canal. Ce doit être son amour pour la ville qui l’y poussa. Ou est-ce la certitude que le genre humain peut mieux faire? Dans tous les cas, il apprécie le beau temps et le calme sur l’eau.
Cécile Leclercq
Passionnée des langues et cultures étrangères, elle a trouvé sa place dans l’incroyable mixité de Bruxelles. Elle rêve d’une ville qui stimule les échanges en communauté, le développement durable et le retour de la nature.
Cécile Leclercq
Passionnée des langues et cultures étrangères, elle a trouvé sa place dans l’incroyable mixité de Bruxelles. Elle rêve d’une ville qui stimule les échanges en communauté, le développement durable et le retour de la nature.
Alessio Porcelli
Un zinneke avec le rêve utopique de pouvoir un jour dire à ses ketjes; vas-y, saute, l’eau est ça va. Il rêve d’une ville où le canal jouerait un rôle social et non plus seulement économique. Et bien sûr que la zone du canal soit embellie pour qu’il y fasse bon flâner.
Lauren de Crombrugghe
Une fanatique de l’eau qui n’a pas pu résister à la tentation de s’impliquer pour un canal plus propre et agréable à Bruxelles. Elle n’a pas peur de se salir les mains et, si c’est en kayak, c’est encore mieux. Elle rêve même de pouvoir un jour nager dans le canal.
Lauren de Crombrugghe
Une fanatique de l’eau qui n’a pas pu résister à la tentation de s’impliquer pour un canal plus propre et agréable à Bruxelles. Elle n’a pas peur de se salir les mains et, si c’est en kayak, c’est encore mieux. Elle rêve même de pouvoir un jour nager dans le canal.